• Essai de macro

     

     

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    « Le viaduc de Saint BeninJuin, mois de l'été »

  • Commentaires

    15
    blablachoc
    Mercredi 4 Juin 2014 à 10:35
    Essai macro réussi ! J adore ! bravo en tout cas .... je trouve que quelque chose a changé pour toi, que tu n es plus la même personne qui était sur auf ? tu me diras ... j adore vraiment ton nouveau blog et tes articles et photos en tout cas ! merci aussi pour tes passages et petits mots sur auf. Qui font vivre chocoreve, celle que j étais avant. Merci♡bisous
    14
    Mercredi 4 Juin 2014 à 09:24

    sont très jolies tes macros ! pas evident de prendre les abeilles qui butinent ! elle est réussie.

    bon mercredi à toi ma belle, j'ai bien dormi cette nuit, ça fait du bien, pluie sur paris, mais dès demain le beau temps revient on va avoir un w.end agréable je pense.. je t'embrasse, ronron de Miss chichi à fidgi, biz FLO

    13
    josy1640
    Mercredi 4 Juin 2014 à 08:41

    Hello !! Je n'ai pu m'empêcher de rire quand j'ai vu ma méprise ... je croyais que tu ne te rappelai plus notre discussion ...biggrin

    J'essaie de faire un " copié-collé " de ce que j'ai relevé sur le net ( mais ça va faire un sacré article !!!)

    L’étrange aventure de deux dames anglaises à Versailles (1901-1908).

     

    Un saut dans l’espace-temps à Versailles, en 1901 ?

     

    Le 10 août 1901, deux dames anglaises se faisant appelées Miss Elisabeth Morison et Miss Frances Lamont (de leurs vrais noms, Miss Moberly, 55 ans, directrice du collège Hugh, à Oxford, et Miss Jourdain, 33 ans, directrice d’une institution pour jeunes filles, à Watford), se rendirent pour la première fois à Versailles. Filles de ministres anglicans renommés, les deux dames n’étaient guère portées sur l’occultisme et le fantastique. Elles voulaient, disaient-elles, garder intacte la foi inculquée par leurs pères. Pourtant, ce jour-là, elles se virent directement confrontées au mystère, à l’insolite, à l’invraisemblable.

     

    le jeu de bagues de marie-antoinetteAprès avoir parcouru les salles du château, elles décidèrent de visiter les deux Trianon. « Elles sortirent du château par le passage habituel qui, à droite de la Cour de Marbre, mène au parc ; elles traversèrent le parterre d’eau, descendirent les marches du bassin de Latone ; elles longèrent le tapis vert et, suivant l’allée transversale qui part du bassin d’Apollon, elles tournèrent ensuite à gauche, empruntant l’allée qui passe sous le petit pont, laissant sur leur droite l’ancien Corps de Garde et l’enclos des Glacières. Elles pénétrèrent ainsi dans le domaine de la Reine par une porte voisine de la Maison du Jardinier. » (Guide de Versailles mystérieux, p. 275). A peine s’étaient-elles engagées dans le domaine qui avait jadis appartenu à la reine Marie-Antoinette, que Miss Moberly et Miss Jourdain eurent l’impression de se mouvoir comme dans un rêve, alors que le paysage avait pris l’aspect étrangement rigide d’une tapisserie. Soudain, elles aperçurent deux hommes vêtus de longs manteaux gris-vert et coiffés d’étranges tricornes. A la demande de Miss Jourdain, ceux-ci leur indiquèrent, sans la moindre amabilité, le chemin du Petit Trianon.

     

    Sur leur droite s’élevait une petite maison devant laquelle se trouvaient une femme et une jeune fille revêtue de fichus blancs. Elles se tenaient là, immobiles et silencieuses, comme figées. A ce moment nos deux visiteuses éprouvèrent une profonde sensation de dépression, de désolation et de solitude. Un peu plus loin, elles virent, se tenant devant un kiosque, un homme enveloppé d’un manteau noir et d’une cape. Il était aussi coiffé d’un chapeau à larges bords et son visage était marqué par la petite vérole. Effrayées, les deux Anglaises se retournèrent pour prendre la fuite. C’est alors qu’elles aperçurent un jeune homme semblant sortir de derrière un rocher. De par son allure, elles en déduisirent qu’il s’agissait d’un gentilhomme. Et, de fait, ce dernier, fort galamment, les mit en garde : « Mesdames ! Mesdames ! Il ne faut pas passer par là ! Par ici… Cherchez la maison », leur lança-t-il. Etrangement, ses pas firent, l’espace d’un instant, résonner le sol de l’allée déserte.

     

    Passablement décontenancées, nos deux touristes suivirent le chemin indiqué par leur sauveur, empruntèrent un pont rustique qui enjambait le ruisseau et débouchèrent sur une prairie entourée de petites maisons. De là, elles parvinrent par le côté nord au Petit Trianon. C’est là que, sur une terrasse, elles virent une dame qui, tournant le dos aux visiteuses, semblait dessiner. Elle était blonde et portait un chapeau de paille, de même qu’une robe claire et légère. Au passage des deux Anglaises, déterminées à s’éloigner au plus vite de cette mystérieuse apparition, la dame au chapeau de paille leva la tête et les dévisagea. S’éloignant de celle-ci et évitant de lui adresser la parole, les deux visiteuses longèrent une terrasse et se retrouvèrent en surplomb de la cour d’honneur du Petit Trianon. Là, un étrange sentiment de tristesse les submergea à nouveau, et ce alors même qu’elles se sentaient entourées de « présences invisibles ».

     

    Surgit alors un jeune homme aux allures de valet de pied, mais ne portant aucune livrée. En souriant, il dit aux deux dames d’entrer par la cour d’honneur et leur indiqua la bonne direction. Les deux Anglaises traversèrent le jardin français en sa compagnie, puis, ayant franchi une petite porte située à l’extrémité des Communs et permettant de passer du Jardin français à l’avenue des Deux Trianon, elles rejoignirent enfin le chemin qu’elles auraient dû suivre dès le début de leur curieuse promenade. Au moment précis où elles débouchèrent sur l’avenue, le sentiment de tristesse et d’angoisse qui n’avait cessé de les tourmenter, s’évanouit. Et les deux visiteuses eurent soudain l’impression d’avoir quitté un monde parallèle pour retrouver celui, bien tangible, de 1901, devant le Petit Trianon, à côté d’un groupe de promeneurs tout ce qu’il y a de vivants. 

     

    Miss Moberly et Miss Jourdain regagnèrent Paris, mais n’osèrent évoquer leur incroyable voyage qu’une fois rentrée en Angleterre. Elles admirent l’une et l’autre avoir eu l’impression d’avoir vécu une étrange expérience et conclurent en bonnes citoyennes anglaises que Trianon devait être hanté ! Pour elles, c’était évident : elles avaient vécu une expérience spatio-temporelle qui, l’espace d’un moment, avait fait se confondre le début du 20e siècle et la fin du 18e siècle. Toutefois, leurs observations différaient sensiblement : l’une avait vu la femme au chapeau de paille, mais pas l’autre, celle-ci avait vu la femme et la jeune fille vêtues de fichus blanc, mais pas celle-là. Aussi convinrent-elles de consigner par écrit, mais séparément, tout ce qu’elles avaient vu et entendu au Petit Trianon. Les deux récits, rédigés en 1901, sont conservés à la Bodleian Library. En définitive, à l’exception des deux observations précitées, toutes les autres concordent.

     

    Le petit trianonLe retour de Miss Jourdain à Versailles (1902) et le rendez-vous manqué de 1904. 

     

    Le 2 janvier 1902, Miss Jourdain décida de retourner seule à Versailles. Mais cette fois, elle n’emprunta pas le même chemin et préféra s’engager dans une allée conduisant à un hameau d’agrément. Et une fois encore, elle se sentit comme transportée « ailleurs » et éprouva les mêmes impressions déprimantes que lors de sa première visite. Elle vit alors des bûcherons qui portaient des tuniques et des capes de couleurs vives. Lorsqu’elle les aperçut, ils étaient en plein ouvrage et chargeaient des fagots sur une charrette. Mais lorsqu’après les avoir dépassés, elle se retourna, hommes et charrette s’étaient comme volatilisés. Poursuivant son étrange périple, Miss Jourdain s’égara et se retrouva dans un bois. Puis, visitant le hameau, elle eut la sensation d’être frôlée par des êtres invisibles revêtus d’oripeaux soyeux, alors qu’au loin se faisait entendre un air de musique du 18e siècle. Là prit fin la seconde excursion spectrale de notre aventurière anglaise.

     

    Les deux dames retournèrent ensemble au Petit Trianon, en juillet 1904, mais aucun des phénomènes qu’elles avaient pu observer lors de leurs précédentes visites ne se reproduisit. Mieux encore, tout ce qu’elles avaient vu ou cru voir avait disparu : le kiosque, le ravin, le pont, la pelouse et jusqu’au bois dans lequel Miss Jourdain s’était égarée en 1902. Or, aucune transformation n’avait été entreprise durant les quatre dernières années. Plus convaincues que jamais d’avoir effectué un genre de « voyage dans le temps », nos deux anglaises, peu au fait de l’histoire de France, se plongèrent, à partir de 1907, dans des recherches historiques minutieuses, étudiant plans et documents anciens concernant plus particulièrement le Petit Trianon.

     

    L’ultime voyage de Miss Jourdain (1908).

     

    Miss Jourdain revint une dernière fois à Versailles, le 12 septembre 1908, et fut à nouveau le témoin de phénomènes étranges. Alors qu’elle se dirigeait vers l’ancien logis des gardes, elle aperçut deux femmes en train de se quereller avec violence et ressentit au même moment ce sentiment de dépression et de fatigue qui lui était familier depuis ses précédentes expériences de 1901 et 1902. Elle affirma que la scène tout entière semblait se jouer sur la toile de fond d’un théâtre. Pour poursuivre sa marche et quitter l’allée sur laquelle elle s’était engagée, Miss Jourdain dû faire un effort, et à peine en fut-elle sortie que les choses semblèrent revenir à la normale.

     

    An Adventure.

     

    Miss Moberly et Miss Jourdain décidèrent de relater leur expérience aussi versaillaise que spectrale dans un livre intitulé An Adventure. Dès sa parution en 1911, celui-ci remporta un important succès. Nos deux aventurières des mondes parallèles expliquèrent ainsi doctement que les scènes aperçues ne pouvaient que correspondre à la date du 5 octobre 1789, dernier jour que passa Marie-Antoinette dans son domaine. Mais pour affirmer cela, les deux dames se référaient, selon toute vraisemblance, à des éléments de folklore local. En effet, une vieille légende affirme que le fantôme de Marie-Antoinette hanterait les jardins du Petit Trianon au mois d’août et plus précisément le 10 ou lors de l’anniversaire de quelque événement heureux que la souveraine connût jadis au hameau. La dame au chapeau de paille ne pouvait donc être que le fantôme de la reine !

     

     

     

    Voilà l'histoire ma douce Anne- Marie ( l'article est bien + complet sur le net ). Tu me diras ce que tu en penses .... Pour ma part, je pense que ces 2 dames étaient des médiums qui s'ignoraient ....

    Plein de très gros bisous et de tendresse .

    12
    Mercredi 4 Juin 2014 à 08:37

    Bonjour Beewell,tu vas finir par y arriver!! Bonne journée,bises

    11
    Mercredi 4 Juin 2014 à 08:28

    Bon Mercredi, gris de gris pour l'instant !! Gros bisous !

    10
    Mercredi 4 Juin 2014 à 06:32

    la ténacité aura des aboutissants ...

    pas évident la première fois, mais tu y arriveras ...

    j'aime bcp la dernière ..

    bonne journée

    Biz

    G

     

    9
    Mercredi 4 Juin 2014 à 04:51

    Il faut un peu de temps pour maitriser cette technique!

    Bon mercredi!

     

    Daniel.

    8
    Mardi 3 Juin 2014 à 21:09

    Bonsoir Anne-Marie, merci de me rappeler que je dois moi aussi acheter couvercle et étamine. Les groseilles d'un des groseilliers commencent à rougir. Comprends pas, 5 pieds de la même race (soit disant) achetés ensemble, un seul croule sous le poids des groseilles, les quatre autres ont tardé à faire des feuilles et des fleurettes. Un casse tête chinois, un de plus, lol !

    Qu'ai je fait ? J'ai appliqué une deuxième couche de peinture sur la boite à ramequins, j'ai bidouillé, papoté au téléphone.

    Vaut mieux investir dans du bon cher que dans du pas cher pas bon, lol ! Enfin c'est ma devise.

    Bah, vaut mieux attendre le coup de coeur, non ? Je vais à un mariage en juillet, va falloir aussi que je trouve une blouse chemisier, un foulard... un vrai parcours de combattante, mdr !

    Superbes tes photos, j'aime particulièrement la dernière. J'adore photographier les insectes, je t'ai d'ailleurs (je crois) écrit que j'étais étonnée du nombre de photos d'insectes que j'ai faites. Jolie rose das l'ombre et la lumière, j'aime les roses simples comme les roses aux nombreuses pétales. La pluie est arrivée sous formes d'averses...

    Je te souhaite une bonne soirée.

    Gros bisous tout plein.

    * pas de nouvelles de Madée !!!!!!!!!!!!!!!

     

    7
    Mardi 3 Juin 2014 à 18:42

    bonsoir Beewell, toujours aussi chaud chez moi, 24 degrés cet après midi, mais la pluie est prévue pour demain ! chacune notre tour !

    Elles sont bien belles tes macros pour des essais. J'aime bien la dernière et l'avant dernière !!

    Bonne fin de journée bisous

    Rozy

     

    6
    Mardi 3 Juin 2014 à 18:05

    Effectivement, la une, est floue. Celle du bourdon est la plus aboutie.

    Je tenais à te dire, que par chez moi, une petite Mathilde est née.

    De sezs prénoms qui suivent, c'est comme pour toi, c'est Anne Marie, des prénoms de ses deux mamies.

    Forcément, ce sera toi la marraine.

    Bisou +++ à celle qui m'a appris "Corot" de Douhai. Yann.

    5
    Mardi 3 Juin 2014 à 16:45

    belle  image  du  bourdon ??   un  régal  ......

    4
    Mardi 3 Juin 2014 à 15:56

    Hé oui, le pluie est de retour, j'ai encore désherbé toute la matinée, suis fourbue, que la terre est basse !

    j'avais envie d'aller à la ferme cueillette pour aller chercher des fraises, mais vu le temps, boff..

    bisous

     

     

     

    3
    Mardi 3 Juin 2014 à 15:41

    Jolis cœurs de fleurs!  La première a un problème de profondeur de champ... Le bourdon a l'air de se régaler!

    C'est vrai que les fourmis élèvent les pucerons comme des fermiers. Mais là, elles étaient absentes...

    Merci pour ta gentille visite.

    Passe une bonne journée ensoleillée j'espère.

    Bise, Michel.

    2
    Mardi 3 Juin 2014 à 15:37

    comme c'est beau !!!!! wink2 Très peu de temps ....mais MERCI pour tes mots,ta présence...mon coeur de mamie a saigné FORT...Ma princesse se rétablit doucement mais sûrement .

    wink2

    1
    exotique7
    Mardi 3 Juin 2014 à 15:36

    coucou Anne-Marie

    Elles sont magnifiques tes photos !

    Nous avons fait nos courses, nous avons récupéré Yann qui finissait à 14 heures.

    La pluie vient d'arriver et heureusement que j'avais déjà ramassé mon linge qui est bien sec.

    Ma tache est bénigne, ce n'est rien.

    Il faut simplement que le dermato gratte ou brûle.

    Je pense bien fort à toi

    Gros bisous

     

     

     

     

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